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Partage de textes , de citations inspirantes
Auteur : Lucienne  
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Date :    29-09-2025 18:39:01


🔴"Un verbe", très beau texte de Grand Corps Malade 🙌
"Un regard, une rencontre, un été, un sourire
Un numéro, un mail, une attente, un souvenir
Un appel, une voix, un début, un rencard
Un horaire, un endroit, une venue, un espoir
Une terrasse, un café, un dialogue, un moment
Un soleil, une lumière, un cœur, un battement
Une seconde, une minute, une heure, un plaisir
Un au-revoir, une prochaine, une promesse, un désir
Un après, une durée, une patience, un silence
Un doute, un pourquoi, un regret, une distance
Un retour, une surprise, un déluge, une marée
Une suite, une envie, un projet, une soirée
Une pleine lune, une virée, un instant, une pulsion
Un frôlement, un baiser, une magie, un frisson
Un accord, un avenir, une force, une destinée
Une étoile, un poème et un verbe, aimer."
Auteur : Lucienne  
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Date :    02-10-2025 11:07:29


Ce n’est pas toujours le sexe.
Parfois, il n’est pas nécessaire d’ôter ses vêtements,
parfois il n’est pas besoin de mettre son corps à nu.
Parfois, il suffit d’une conversation,
d’une longue étreinte, d’une simple promenade.
Non, ce n’est pas toujours le sexe.
Parfois, un lit n’est pas nécessaire.
Parfois, il suffit qu’on nous dise : « je t’aime ».
Parfois, nous avons seulement besoin
qu’on nous effleure l’âme
pour que nous puissions nous dénuder de l’intérieur.
— Fernando García
Auteur : Lucienne  
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Date :    05-10-2025 10:35:31


Le Dr. Ovidiò, neurologue pédiatre,
alerte sur une tragédie silencieuse
qui se développe aujourd'hui
dans nos maisons
et concerne les plus beaux bijoux :
les enfants 👦🏻🧑👧🏻🧑‍🦰
Au cours des 15 dernières années,
les statistiques ont montré
une augmentation aiguë et constante
de la maladie mentale infantile
qui prend maintenant une allure épidémique :
• 1 enfant sur 5 a des pbs de santé mentale
• +43 % de ce qui est nommé le TDAH
• +37 % de dépression adolescente
• +200 % de suicide chez les 10-14 ans
Qu'est-ce qui se passe
et qu'est-ce qu'on fait de mal ?
Les enfants d'aujourd'hui sont sur-stimulés
et sur-donnés d'objets matériels,
mais ils sont privés
des fondements d'une enfance saine :
👨‍👩‍👦 parents émotionnellement disponibles
🚫 limites clairement définies
☀️ responsabilités
🥗 nutrition équilibrée
😴 sommeil suffisant aux horaires adéquats
🤸🏼‍♂️mouvement quotidien en plein air
🧩 jeu créatif, interaction sociale, opportunités de jeu informel et espaces pour l'ennui
Au lieu de cela, ces dernières années :
📱 parents distraits numériquement
👑 parents qui laissent les enfants imposer leurs règles et lois
📩 tout mériter et avoir sans le gagner ou être responsable de l'obtenir
🍔 sommeil inapproprié et malnutrition
📱stimulation sans fin, nounous technologiques, gratification instantanée, sédentarité et absence de moments ennuyeux
❇️ Que faire ?
Revenir aux bases. C'est encore possible !
✋🏻 Fixer des limites et rappelez-vous que vous êtes le capitaine du bateau.
☝️Vos enfants se sentiront plus en sécurité en sachant que vous avez le contrôle du gouvernail.
☀️Leur offrir un style de vie équilibré rempli de ce dont les enfants ont besoin, pas seulement de ce qu'ils veulent.
Oser dire "non" à vos enfants si ce qu'ils veulent n'est pas ce dont ils ont besoin.
🍒Donner des aliments nutritifs et limiter la malbouffe.
🌈 Passer au moins une heure par jour pour des activités en plein air.
🗣 Structurer les repas quotidiens sans smartphones ou autre technologie.
🧩 Jouer aux jeux de société en famille
🧹 Impliquer vos enfants dans des tâches ménagères.
🛌 Installer une routine de sommeil cohérente pour un temps de repos suffisant et des horaires de lever et coucher stables.
☝️Enseigner la responsabilité et l'indépendance.
Ne pas trop les protéger de la frustration ou de l’erreur. Se tromper les aidera à développer la résilience et apprendront à surmonter les défis de la vie,
🍌 Ne pas faire à leur place la tâche qu’ils ont oublié de faire.
Ne leur pelez pas les bananes, les oranges etc, ils peuvent le faire d'eux-mêmes vers 4-5 ans.
Montrez-leur comment pêcher, comment cultiver un potager
🕰 Apprenez-leur à attendre et à retarder la gratification.
😒Offrez des opportunités pour l'"ennui", car l'ennui est le moment où la créativité se réveille.
📱 N'utilisez pas la technologie comme un remède pour l'ennui, ni l'offrir à la première seconde d'inactivité.
📱 Évitez l'utilisation de la technologie pendant les repas, dans les voitures, les restaurants, les centres commerciaux.
Utilisez ces moments comme des opportunités pour socialiser en formant ainsi les cerveaux à savoir fonctionner quand ils sont en mode : "ennui"
🫙 Aidez-les à créer un "Bocal de l'ennui" avec des idées d'activités pour quand ils s'ennuient.
👂 Soyez émotionnellement disponible pour vous connecter avec eux et enseignez-leur l'auto-régulation émotionnelle et les compétences sociales :
💜Devenez un régulateur ou entraîneur émotionnel de vos enfants. Apprenez-leur à reconnaître et à gérer leurs propres frustrations et colère.
Article écrit par Dr. Luis Rojas Marcos, psychiatre.
Auteur : Lucienne  
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Date :    06-10-2025 11:05:15


Un père disait à ses enfants quand ils étaient petits : « Quand vous aurez tous 12 ans, je vous révélerai le secret de la vie. » Un jour, alors que l’aîné avait 12 ans, il demanda anxieusement à son père quel était le secret de la vie. Le père répondit qu’il allait le lui révéler, mais qu’il ne devait pas le révéler à ses frères.
« Le secret de la vie est le suivant : la vache ne donne pas de lait. « Que dis-tu ? » demanda le garçon, incrédule. « Comme tu l’entends, mon fils : la vache ne donne pas de lait, il faut la traire. Il faut se lever à 4 heures du matin, aller au champ, traverser l’enclos rempli de fumier, attacher la queue, entraver les pattes de la vache, s’asseoir sur le tabouret, placer le seau et faire le travail soi-même.
C’est le secret de la vie : la vache ne donne pas de lait. Tu la trayes ou tu n’auras pas de lait. Il y a cette génération qui pense que les vaches DONNENT du lait. » Que tout est automatique et gratuit : leur mentalité est la suivante : « Je souhaite, je demande… j’obtiens. »
« Ils ont été habitués à obtenir tout ce qu’ils désirent facilement… Mais non, la vie ne se résume pas à souhaiter, demander et obtenir. Ce que l’on reçoit est le fruit de l’effort. Le bonheur est le fruit de l’effort. Le manque d’effort engendre la frustration. »
Alors, partagez avec vos enfants dès leur plus jeune âge les secrets de la vie, afin qu’ils ne grandissent pas avec l’idée que le gouvernement, leurs parents ou leurs adorables petites frimousses leur donneront tout ce dont ils ont besoin.
Rappelez-vous
« Les vaches ne donnent pas de lait ; il faut travailler pour en avoir. »
Auteur : Lucienne  
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Date :    07-10-2025 11:58:02


— Tu sais ce qu’il y a de plus difficile dans le fait de vieillir ?
— Quoi ?
— C’est qu’on devient invisible.
Tant qu’on est jeune, on est quelqu’un : beau, séduisant, charismatique, fort… ou du moins, remarqué.
Mais tout cela finit par s’effacer.
Et on devient « le vieux monsieur » à la veste usée, ou « la dame » au manteau et au chapeau délavés.
C’est comme si on n’existait plus vraiment. On devient transparent.
— Mais tu sais ? Je t’ai remarqué dès que tu es entré dans la pièce…
Cette réplique vient d’une célèbre série britannique.
Et oui, elle sonne terriblement juste.
Trop souvent, le seul “trait” qu’on retient d’une personne âgée, c’est… son âge.
Personne ne dit : « Elle était prof de littérature » ou « Il était ingénieur civil. »
On dit simplement : « Elle a plus de 80 ans » ou « Il doit avoir au moins 90. »
Avec les années, le nombre de gens qui connaissent la vraie histoire d’une personne âgée diminue.
Qui elle était, ce qu’elle aimait, ce dans quoi elle excellait…
tout cela s’efface lentement.
Les amis ?
Partis. Ou enfermés chez eux, presque immobiles, ne sortant que jusqu’à la boulangerie du coin.
Les enfants ?
Ils ont depuis longtemps construit leur propre vie, avec leurs propres soucis.
Ils appellent parfois, et — très rarement — passent boire un café ou un thé.
Dans l’immeuble, de nouveaux voisins arrivent : de jeunes parents avec leurs poussettes, des pères portant des sacs de courses…
et plus personne ne connaît le nom de la dame du deuxième étage.
À l’épicerie du coin, les vendeurs ont changé.
Plus aucun visage familier.
Des personnes âgées du quartier, on connaît à peine le numéro d’appartement et une estimation de leur âge.
Mais ce qu’il se passe derrière cette porte… personne ne s’y intéresse.
Un monde invisible.
On ne se rend pas compte qu’à petit feu, un vide se forme autour de nos aînés.
On ne comprend pas pourquoi maman appelle dix fois par jour « pour des broutilles ».
Ou pourquoi papa redemande sans cesse des détails qui semblent inutiles.
Ils ont peur d’être complètement oubliés.
Ils veulent être entendus, reconnus… ne serait-ce que par une voix.
La vieillesse, ce n’est pas seulement une question d’années.
C’est l’invisibilité.
C’est la solitude.
C’est le besoin immense de se sentir encore important pour quelqu’un. ❤️
Auteur : Lucienne  
110/114

Date :    10-10-2025 13:31:49


L’UN PARTIRA AVANT L’AUTRE
On n’y pense presque jamais, mais c’est la vérité la plus dure :
l’un des deux partira le premier.
L’un restera, debout dans le silence,
au milieu des fleurs et des souvenirs.
L’un rentrera seul à la maison,
dans un lit trop grand,
avec le rire de l’autre devenu un écho lointain.
Et pourtant, nous vivons comme si nous étions éternels.
Nous gardons nos étreintes pour « plus tard »,
nous taisons nos « je t’aime » par orgueil,
nous laissons la colère durer plus longtemps que la tendresse.
Nous croyons qu’il y aura du temps —
mais le temps ne nous attend jamais.
Alors, tant que vous êtes ensemble, aimez sans retenue.
Embrassez sans compter.
Dites ce que vous ressentez avant qu’il ne soit trop tard.
Laissez l’orgueil dormir dans une autre pièce,
et que l’amour ait toujours le dernier mot.
Car un jour, inévitablement,
l’un de vous restera seul avec les souvenirs.
Et la seule chose capable d’apaiser le vide
sera le souvenir d’un amour véritable.
Auteur : Lucienne  
111/114

Date :    12-10-2025 09:54:08


Après quarante ans passés dans une salle de classe, ma carrière s’est terminée par une seule phrase, prononcée par un enfant de six ans :
— « Mon papa dit que des gens comme toi, c’est dépassé. »
Il ne l’a pas dit avec méchanceté. Il ne se moquait pas. Sa voix était neutre — factuelle — comme s’il annonçait la météo.
— « Tu n’as même pas TikTok », a-t-il ajouté.
Je m’appelle Eleanor Vance, et aujourd’hui, j’ai rangé ma classe de maternelle pour la toute dernière fois.
Quand j’ai commencé à enseigner, au début des années quatre-vingt, c’était une vocation. On ne faisait pas ce métier pour le salaire, mais parce que façonner de jeunes esprits avait quelque chose de sacré. Les parents apportaient des biscuits faits maison pendant les réunions. Les enfants tendaient des cœurs en papier colorié aux crayons. Et le regard d’un enfant quand il lisait sa première phrase valait plus que n’importe quelle prime.
Mais peu à peu, le métier a changé. La joie s’est évaporée, remplacée par la paperasse, les statistiques et l’épuisement. Un jour, le monde a cessé de voir les enseignants comme des guides, pour les traiter comme des employés de service client qui n’ont même pas le droit de raccrocher.
Autrefois, je passais mes soirées à découper des étoiles jaunes ou à accrocher des dessins au mur. Désormais, je les passais à enregistrer des « incidents de comportement » sur une application du district — parce qu’aujourd’hui, c’est la documentation, non la bienveillance, qui protège des poursuites.
On m’a crié dessus devant mes propres élèves. Une fois, une mère a filmé la scène en direct sur Facebook pendant que son fils riait derrière son téléphone. Je suis restée droite, silencieuse, pendant que plus tard, mon principal me conseillait d’être « plus souple avec les parents modernes ».
Les enfants aussi ont changé. Ce n’est pas de leur faute. Ils arrivent fatigués, anxieux, surstimulés. Leurs petites mains serrent des tablettes au lieu de jouets. Certains ne savent pas tenir un crayon. D’autres ignorent comment partager ou attendre leur tour. Et pourtant, on attend de nous que nous réparions tout cela — vingt-cinq à la fois, avec un budget qui ne suffirait même pas à acheter assez de bâtons de colle.
Mon petit coin lecture — des coussins, des albums et un rayon de soleil — a été remplacé par des « tableaux de données » et des « objectifs mesurables ».
Un nouveau principal m’a un jour dit :
— « Soyez moins maternelle, Eleanor. Nous avons besoin de résultats quantifiables. »
Comme si la chaleur humaine était devenue une faute professionnelle.
Pourtant, je suis restée, pour les petits miracles.
L’enfant timide qui a murmuré : « Vous êtes comme ma grand-mère. »
Le mot griffonné : « Ici, je me sens en sécurité. »
Le petit garçon qui, un jour, a levé la tête, rayonnant, et dit : « J’ai lu toute la page ! »
Ces moments étaient ma bouée — la preuve que même les gestes les plus simples pouvaient survivre au vacarme.
Mais ces dernières années ont brisé quelque chose en moi. La violence s’est glissée dans les couloirs. Les enseignants partaient en plein semestre, épuisés ou brisés. Nous remplissions plus de formulaires de crise que de plans de cours. Les rires dans la salle des profs se sont éteints, remplacés par le silence. Ce n’était plus de la fatigue — c’était du deuil.
Je me sentais disparaître peu à peu, comme un vieux panneau d’affichage qu’on oublie d’enlever.
Alors, ce matin, j’ai fermé ma classe à clé pour la dernière fois. J’ai décollé des peintures fanées des murs et retrouvé une boîte de vieux mots de remerciement de ma classe de 1998. L’un d’eux disait :
« Merci de m’avoir aimée quand j’étais difficile à aimer. »
Celui-là m’a brisée.
Il n’y a pas eu de fête de départ. Pas de discours. Pas de gâteau avec mon nom en glaçage. Le nouveau principal — assez jeune pour avoir été mon élève — m’a serré la main distraitement en consultant son téléphone. Il m’a appelée « Madame ».
J’ai laissé derrière moi ma boîte d’autocollants et mon vieux fauteuil à bascule — celui qui avait bercé quarante ans d’histoires racontées.
Je n’ai emporté que les souvenirs impossibles à ranger dans un carton : des bras d’enfant autour de mon cou, des éclats de rire après la récréation, la confiance dans les yeux de ceux qui m’appelaient « maîtresse ».
On peut numériser les programmes, uniformiser les tests, remplacer les craies par des tablettes — mais cela, on ne pourra jamais le reproduire.
L’enseignement me manque tel qu’il était autrefois : un partenariat, pas un combat. Une communauté, pas une entreprise. Un mot noble — professeur — pas un simple « gardien diplômé ».
Alors si vous connaissez un enseignant, ancien ou actuel, remerciez-le.
Pas avec une tasse ou une carte-cadeau.
Mais avec vos mots. Avec votre compréhension. Avec votre respect.
Parce que dans un système qui les oublie, les enseignants sont ceux qui continuent de se souvenir de vos enfants.
Auteur : Lucienne  
112/114

Date :    15-10-2025 09:19:05


Celle-ci est pour vous, mesdames ! 💐
Récemment, j’ai déjeuné dans un restaurant où une table de copines d’un certain âge riaient aux éclats, et en rentrant, j’ai écrit ce texte.
Vous y reconnaîtrez peut-être quelqu’un… peut-être vous-même.
Déjeuner entre amies
par Kathy O’Malley
Le vertige d’Elaine n’a jamais été pire,
Kay ne se souvient plus où elle a mis son sac à main,
Rhonda s’apprête à se faire poser de nouveaux genoux,
Linda respire avec un petit sifflement,
Donna a une boule inquiétante dans son sein gauche,
Diane en est à son troisième aller-retour aux toilettes,
Le mari de Lorraine ne se souvient plus de rien,
Veuve depuis neuf ans, Marge porte encore son alliance.
Marlene fait face à une nouvelle infection urinaire,
Sally tente encore une fois un nouvel appareil auditif,
Marie a décidé qu’elle ne conduirait plus la nuit,
Et Sharon porte toujours des vêtements deux tailles trop petits.
Elles ont traversé divorces, naissances et enterrements,
Elles font tout ce qu’il faut les unes pour les autres.
Elles ont déjà enterré Marcia et Kate,
Et, entre nous, Lizzie n’a pas l’air au mieux de sa forme.
Alors, dès qu’elles le peuvent, elles sortent déjeuner,
Ouvrent des bouteilles de vin et oublient leurs pieds endoloris.
Elles rient, pleurent, baissent la garde,
Et quand l’addition arrive… dix cartes de crédit sur la table ! 💳
Alors levons nos verres :
🍷 à ces serveurs qui gardent le sourire malgré le chaos,
🍝 à ces restaurants qui laissent les déjeuners durer trois heures,
et surtout, à ces amies, proches ou lointaines —
À vous, les amies — vous savez bien qui vous êtes ! 💕

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