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Partage de textes , de citations inspirantes
Auteur : Lucienne  
105/125

Date :    17-10-2025 09:31:17


Je m'appelle Lucia. J'ai 71 ans. Je vis seule depuis le décès de mon mari, victime d'une démence progressive. Ma fille dit que je m'inquiète trop. Peut-être. Mais après 40 ans comme infirmière aux urgences, j'ai appris ceci : la vraie douleur se cache derrière les visages les plus silencieux.

Je ne travaille plus. Mais je vois encore des choses.

Tous les mardis, je vais à l'épicerie du coin prendre mon thé et mon pain. Non pas parce que j'en ai besoin, mais parce que je les vois. Les gens qui les maintiennent ensemble avec des cordons effilochés.

Comme Mme Evans. 89 ans. Elle porte la même robe à fleurs chaque semaine. Elle sourit toujours quand je passe. Mais son sourire ? Il s'arrête à ses lèvres. Il ne touche jamais ses yeux. J'ai déjà vu ce regard, aux urgences, quand les gens cachent des hanches cassées ou des réfrigérateurs vides.

Mardi dernier, je me suis assise sur le banc devant l'épicerie (pas dedans, j'ai évité ça). Je n'ai pas demandé : « Comment allez-vous ? » Tout le monde répond « bien. » À la place, j'ai dit : « Cette robe est magnifique. » C'est comme le ciel aujourd'hui.

Elle se figea. Puis murmura : « Mon fils… il disait toujours ça. »

Il s'avère que son fils n'est pas venu lui rendre visite depuis 11 mois. Ses jambes lui ont lâché la semaine dernière. Elle n'arrêtait pas de tomber, de se faire des bleus, et de sourire.

Je n'ai pas arrangé les choses avec un grand geste. J'ai juste appelé le centre communautaire. J'ai demandé s'ils pouvaient envoyer un « visiteur amical » pour aider avec les courses. Je leur ai dit de ne pas appeler ça « de l'aide », juste « un voisin qui prend des nouvelles ».

La semaine suivante, Mme Evans m'attendait. Ses yeux brillaient. « Une charmante fille est venue. Elle a apporté de la soupe. Et… elle m'a écoutée. »

C'est là que j'ai compris que la gentillesse ne consiste pas à tout résoudre. Il s'agit de voir les non-dits.

Et puis est arrivé M. Éric. 78 ans. Il passait toujours devant moi en courant, la tête basse. Un matin, j'ai remarqué que ses mains tremblaient. Pas à cause de l'âge. De peur. Je lui ai demandé où étaient ses roses (il les soigne tous les jours). Il s'est étranglé : « Ma femme les a plantées. Maintenant… je ne me souviens plus comment les arroser. »

Sa femme est en maison de retraite et souffre de la maladie d'Alzheimer. Il lui rend visite tous les jours, mais se sent inutile. Alors je lui ai appris : « Quand tu arroses, parle-lui. Parle-lui des roses. Même si elle ne répond pas, son cœur t'entend. »

Hier, il m'a interrompue. « Elle a souri aux roses aujourd'hui. Pour la première fois depuis un an. »

Voilà ce que j'ai appris :
Le monde n'est pas sauvé par des super-héros. Il est sauvé par des observateurs. Des gens qui voient les petites fissures dans le sourire de quelqu'un. Qui ne demandent pas : « Ça va ? » Mais faites comme s'ils connaissaient déjà la réponse.

Je ne suis pas spéciale. Je suis juste une infirmière à la retraite qui a appris qu'une pause de 30 secondes pour nommer une robe, demander des nouvelles des roses ou dire « Ce pain a l'air bon » peut être le fil conducteur qui empêche quelqu'un de s'effondrer.

La semaine dernière, une adolescente m'a interpellée. « Je te vois parler aux gens », m'a-t-elle dit. « J'ai commencé à le faire aussi. À l'école. Le petit discret ? Je lui ai demandé où était son sac à dos. Il dort dedans. »

Aujourd'hui, trois adolescents sont des « vérificateurs de sourires » dans notre quartier. Pas avec de grands projets. Juste… en voyant.

Pas besoin d'argent. Pas besoin de temps. Il suffit d'un regard attentionné.

Parce que la douleur la plus profonde se cache souvent derrière le plus petit sourire. Et la plus grande gentillesse que vous puissiez faire ? Qu'elle soit visible.

Que cette histoire touche plus de cœurs…

Par Mary Nelson
Auteur : Lucienne  
106/125

Date :    30-10-2025 13:34:01


Quand Michael Caine annonça à sa mère qu’il venait de gagner un million de livres pour un film, elle le regarda, stupéfaite, presque incrédule, et demanda simplement :
— Combien ça coûte ?
Elle ne voulait pas qu’il répète la somme.
Elle voulait comprendre.

Car pour une femme comme Ellen, qui avait grandi dans la misère du sud de Londres, un million n’était pas un chiffre : c’était un rêve trop grand pour être imaginé.
Michael lui sourit doucement et répondit par une phrase qui changea sa vie :
— Cela veut dire, maman, que tu n’auras plus jamais à travailler.

Ellen Frances Marie Burchell avait passé sa vie à nettoyer les maisons des autres.
Les mains abîmées par le savon, le dos courbé, mais la dignité intacte.
Pendant la guerre, alors que Londres brûlait sous les bombes, elle courait entre abris et cuisines pour nourrir ses enfants, Michael et Stanley, avec presque rien.
Elle répétait toujours :
— Étudiez. Sortez d’ici. Ne me rendez pas la vie impossible.

Michael l’avait promis.
Et il tint parole.

Dans les années 1960, lorsqu’il devint une star internationale avec Zulu, Alfie et The Ipcress File, il emporta avec lui l’image de cette mère fatiguée, fière, qui n’avait jamais cessé de se battre.
Il lui acheta une maison.
Il remplit sa vie de paix et de liberté.
Il l’emmenait aux avant-premières, mais elle restait toujours elle-même : discrète, simple, incrédule devant le monde que son fils avait conquis.

Elle mourut en 1989, paisible.
Ni fatiguée, ni locataire, ni les mains plongées dans l’eau froide.
Et Michael, devenu Sir Michael Caine, n’a jamais cessé d’en parler.
« Tout ce que je suis, je le dois à ma mère », disait-il.
Il donna à sa société de production le nom de Burchell Productions, en son honneur.

Cette scène — une cuisine modeste, un fils qui parle, une mère qui demande : « Combien ça coûte ? », et lui qui répond : « Cela veut dire que tu es libre, maman » — résume tout.
La distance entre la pauvreté et la richesse.
Entre la faim et l’abondance.
Entre le devoir et la gratitude.

Ellen ne pouvait pas comprendre la valeur d’un million de livres.
Mais elle comprenait parfaitement la valeur de la liberté.

Michael Caine fut une icône du cinéma.
Mais son plus grand rôle n’a jamais été filmé :
celui du fils qui tint la promesse d’un enfant pauvre, et offrit à sa mère ce qu’aucune récompense ne pourra jamais égaler :
la dignité de se reposer.

(Récit inspiré d’événements réels, avec des éléments narratifs issus de sources biographiques et de témoignages oraux.)
Auteur : Lucienne  
107/125

Date :    01-11-2025 06:28:27


Il y a un conseil que j’aurais aimé entendre plus tôt dans ma vie :
dire plus souvent “je m’en fiche”.

On perd tellement d’années à vouloir plaire, à avoir peur de décevoir, à rentrer dans des cases qui n’ont jamais été faites pour nous.
On se plie, on s’efface, on ravale des mots qu’on aurait voulu crier…
Mais un jour, on réalise que rien de tout cela n’avait vraiment d’importance.

Ces avis qui nous faisaient trembler.
Ces obligations qui nous étouffaient.
Ces personnes pour qui on a donné jusqu’à s’oublier…
Aucun d’eux ne méritait ce poids que l’on portait sur nos épaules.

Alors si je pouvais parler à mon “moi” plus jeune, je dirais :
Parle avec audace.
Ne t’excuse pas d’être toi.
Arrête de te justifier auprès de ceux qui ne cherchent pas à te comprendre.
Protège ton temps, ton énergie, ta paix.

Et si quelque chose — ou quelqu’un — ne t’apporte ni respect, ni douceur, ni sérénité…
apprends à laisser partir.
Sans hésiter.
Sans t’excuser.
Sans te retourner.

Parce qu’au final, les seuls vrais regrets seront toujours ceux-là :
Les fois où tu es restée silencieuse alors que tu aurais dû dire non.
Les fois où tu as accepté ce que tu aurais dû refuser.
Et ces moments de ta vie où tu as mis tout le monde avant toi… au point de disparaître.
Auteur : Lucienne  
108/125

Date :    04-11-2025 13:31:53


Hier, pendant mon cours, un élève m’a demandé en pleine discussion :
— « Professeur… votre veste, c’est de la marque ou quoi ? »

J’ai répondu en souriant :
— « Non. Je l’ai trouvée à la foire vendredi. »

Ils ont tous arrêté de parler.
L’un a grimacé :
— « Beurk, moi je pourrais jamais mettre un vêtement déjà porté… »
Un autre a ajouté :
— « Moi je n’achète que des marques ! »

Alors le cours de maths s’est transformé, sans le vouloir… en cours de vie.

Je leur ai expliqué que peu importe qu’un vêtement vienne d’une boutique de luxe ou d’un stand de marché,
il finit au même endroit : dans la machine à laver, avec la même lessive et la même eau.

Et que, très souvent, les marques qu’on admire tant sortent… des mêmes usines que les vêtements sans logo.

La vérité ?
J’ai déjà trouvé des trésors sur ces stands : du Nike, du Ralph Lauren, une veste Armani, une chemise Versace…
Pour quelques euros seulement.
Il y a de vraies pépites, il faut juste ouvrir les yeux.

On a repris la géométrie.
Mais pendant qu’ils écrivaient, j’ai observé leurs sweats affichant fièrement leurs marques…
et j’ai pensé à ceux, dans cette même classe, qui portent discrètement les mêmes jeans, les mêmes t-shirts, semaine après semaine, en espérant ne pas qu’on le remarque.

Alors je leur ai dit doucement :

« Ne vous moquez jamais de quelqu’un qui a moins que vous.
Il n’y a aucune honte à ne pas avoir beaucoup.
La seule honte, c’est de juger ceux qui ont moins. »

Parce que moi aussi, j’ai connu les fins de mois où on compte les pièces.
Les repas simples, les vêtements qu’on garde longtemps.
Ces périodes m’ont appris la gratitude, l’humilité et le respect.

Aujourd’hui, ma santé m’a rappelé ce qui compte vraiment.
Croyez-moi : la “mode” n’est plus une priorité.

Ce qui nous définit, ce n’est pas une étiquette cousue sur un pull.
C’est notre attitude, notre cœur, notre façon de traiter les autres.

Parents…
apprenez à vos enfants à être reconnaissants, respectueux, et humbles.
La vie change vite.

Et un jour, ce sweat acheté 3 euros sur un marché…
c’est peut-être lui qui les réchauffera et leur fera du bien.
Auteur : Lucienne  
109/125

Date :    07-11-2025 17:00:52


Mon deuil n’appartient qu’à moi
Certains jours, je guéris.
D’autres, je me brise à nouveau…
Parce que le deuil n’est ni une ligne droite ni une échelle que l’on gravit jusqu’à atteindre un sommet où tout irait mieux.
Cela ne fonctionne pas ainsi…
Le deuil est une spirale, une force qui m’emporte sans prévenir, m’entraînant entre la douceur des souvenirs et l’acidité brutale de l’absence.
Parfois, je crois avancer, respirer plus librement, rire sans culpabilité. Je me lève avec cette sensation que la vie continue et que, d’une manière ou d’une autre, je continue avec elle. Mais il suffit d’un détail, d’une chanson, d’un parfum, d’une phrase que tu as dite un jour… et soudain, je vacille.
Je m’effondre comme si le temps n’avait pas passé, comme si la blessure se rouvrait avec la même intensité que le premier jour.
Et là, dans l’obscurité silencieuse de la nuit, quand le monde dort mais que moi, je veille, quand l’absence devient plus vaste que la pièce elle-même, je comprends que cette douleur m’appartient. 🤍
Il n’existe ni cartes, ni raccourcis, ni formules universelles. Chacun porte sa perte avec le poids exact de son amour.
On me dit que le temps guérit tout…
Mais la vérité, c’est que le temps ne guérit pas.
Le temps enseigne. Il apprend à marcher avec l’absence, à respirer malgré la douleur, à se souvenir sans suffoquer.
Il ne s’agit pas d’oublier, mais d’intégrer, de transformer la blessure en quelque chose qui brûle moins, quelque chose qui, malgré la morsure, permette d’avancer.
Il n’y a pas de règles dans le deuil.
Certains jours, je peux parler de toi sans vaciller, et d’autres, prononcer ton nom suffit à me briser. Et c’est ainsi. Parce que c’est mon deuil, et que je le vis à ma manière. Car seuls ceux qui ont aimé profondément peuvent comprendre l’immensité de ce vide.
Mais je sais aussi que je ne suis pas figé dans l’obscurité. Je sais qu’une lumière brille quelque part, même faible, même lointaine.
Car si le deuil m’a appris une chose, c’est que l’absence fait mal, mais qu’elle n’efface pas l’amour. Et c’est cet amour, celui qui vit encore en moi, qui me pousse à continuer. ✨
Aujourd’hui, je ne sais pas si je suis en train de guérir ou de me briser à nouveau.
Mais je suis là.
J’avance, porté par cette spirale, me reconstruisant entre nostalgies et souvenirs.
Parce que la vie ne s’arrête pas.
Et même si cela me fait souffrir, moi non plus, je ne m’arrêterai pas.
Auteur : Lucienne  
110/125

Date :    09-11-2025 16:01:07


Une enseignante était chez elle, et à l'heure du dîner, elle a commencé à lire les devoirs faits par ses élèves

Son mari était près d'elle et jouait à je ne sais quoi sur sa tablette

Pendant qu'elle lisait le dernier devoir, les larmes ont commencé à rouler silencieusement sur le visage de sa femme.

Le mari a vu ça et a demandé :

- « Pourquoi tu pleures ma chérie ? Qu'est-ce qui s'est passé ? »

La femme :

- « Hier, j'ai donné un devoir aux élèves de première année, sur le sujet : Mon Souhait »

Le mari :

- « D'accord, mais pourquoi pleures-tu ? »

La femme :

- « C'est le dernier devoir qui me fait pleurer ».

Le mari curieux :

- « Qu'est-ce qui est écrit dans ce devoir et qui te fait pleurer ? »

La femme :

- « Écoute, je vais te le lire :

« Mon souhait est de devenir un smartphone.

Mes parents aiment tellement leur smartphone.

Ils sont tellement préoccupés par leur smartphone que parfois ils oublient de s'occuper de moi.

Quand mon père rentre fatigué du travail, il a du temps pour son smartphone, mais pas pour moi.

Quand mes parents sont en train de faire un travail important et que le smartphone sonne, ils répondent au téléphone à la première sonnerie.

Mais pas à moi... même si je pleure.

Ils jouent à des jeux sur leur smartphone, mais pas avec moi.

Ils ne m'écoutent jamais, même quand je suis en train de leur dire quelque chose d'important.

Alors, mon souhait est de devenir un smartphone ».


Après avoir écouté, le mari était ému et a demandé à sa femme :

- « Qui a écrit ça? »

La femme :

- « Notre fils »…
Auteur : Lucienne  
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Date :    12-11-2025 20:22:18


Tu te fâches 😠 parce qu’elle reparle toujours des mêmes problèmes 🔁…
Mais imagine un instant 😔 ce qu’elle ressent, elle, à force de te voir refaire les mêmes erreurs encore et encore 🌀💭.

C’est facile de la traiter de trop émotive 😢, de râleuse 🙄 ou de jamais contente 😤,
mais ce que toi tu appelles “se plaindre” 😒, c’est souvent son dernier cri pour être entendue 📣💔.

Elle ne répète pas parce qu’elle aime les disputes ⚡,
elle répète parce que rien ne change 🕰️.
Chaque promesse non tenue 🤥, chaque émotion ignorée 💭💧,
chaque cercle qui recommence 🌀 lui rappelle que sa voix ne compte pas 😞.

Pendant que toi tu es frustré par la discussion 😤,
elle, elle est épuisée par le schéma 😩.
Elle ne demande pas la perfection 🌸, mais de la sincérité, de l’effort et de la responsabilité 💪💬.
Quand quelqu’un revient sans cesse sur la même douleur 💔,
ce n’est pas pour attirer l’attention 👀,
c’est parce qu’il cherche la paix 🕊️.

La vraie maturité 🌿, c’est d’écouter dès la première fois 👂💞,
pas d’attendre qu’elle craque avant de la croire 😢.
L’amour 💖 ne se prouve pas par des mots 🗣️,
mais par un changement d’attitude 🔄✨.

Si elle parle encore 🗣️, c’est qu’elle tient encore à toi 💞…
Mais si tu continues à ignorer sa douleur 🚫😔,
le silence viendra ensuite 🤫 — et c’est là que l’amour s’éteint pour de bon 🕯️💔.

💡 Morale à retenir :
👉 Quand une femme répète, c’est qu’elle espère encore 🌹.
N’attends pas qu’elle se taise pour comprendre ce qu’elle ressent 😔.
💬 Écoute-la, change, agis 💪 — car l’amour ne meurt pas par manque de mots, mais par absence d’efforts. ❤️🔥
Auteur : Lucienne  
112/125

Date :    14-11-2025 13:56:21


— Papa, tu peux me prêter 1 000 € pour le mariage ?
— 1 000 € ? Combien coûte ce mariage ?
— 35 000. On a pris un prêt, vidé nos économies… mais il manque un peu.

Le père resta silencieux, puis dit :
— Amène ta fiancée, j’ai quelque chose à vous dire.

Ils arrivèrent. Le père demanda :
— Pourquoi dépenser autant ?
— C’est notre grand jour, répondit le fils. Elle en a toujours rêvé.
— Tu rêvais d’une fête… ou d’un mariage solide ? demanda le père.
— D’un bon mariage, bien sûr, répondit-elle.

Alors il dit doucement :
— Une fête dure une nuit. Le vrai mariage dure toute une vie. S’endetter pour impressionner… c’est dangereux. Après ma propre fête, il ne restait que ta mère, moi… et les dettes. Personne ne nous a aidés. Beaucoup ont même disparu.

Le fils baissa les yeux. La fiancée souffla :
— Il a raison. On peut faire plus simple… et garder l’argent pour construire notre vie.

Le père sourit, sortit un chèque :
— Voici 10 000 €. Pas pour la soirée. Pour votre avenir : un logement, un voyage, des économies. Le vrai mariage se construit chaque jour… pas en une seule soirée.

Silence. Mais un silence rempli de gratitude.

Morale : La valeur d’un mariage ne se mesure pas à la taille de la fête, mais à la solidité de l’engagement.

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