◄ Autres villes

Le site des sorties entre amis et rencontres amicales dans ta ville.
         
Vacances inter OVS ►
Forums > Salon de thé
Autres forums sur des centres d'intérêt précis :
Grâce à ton aide, le site restera sympathique comme tu l'aimes !

Quel problème veux-tu soumettre à la communauté ?






◄◄1234567891011►►

Partage de textes , de citations inspirantes
Auteur : Lucienne  
41/99

Date :    12-12-2024 08:49:07


Se sentir vivant.
Peut-être est-ce comme découvrir au réveil un corps près de soi, endormi et nu, dont on peut se dire, sans qu’il soit le nôtre ni savoir pourquoi, qu’il est là et que désormais il nous accompagne.
À moins que cela ne soit de retrouver le sien au petit matin, reposé, calme, comme s’il était celui d’un autre et l’écouter en soi vibrer et lentement respirer.
Auteur : Lucienne  
42/99

Date :    13-12-2024 08:53:12


Sur mes cahiers d’écolier
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable sur la neige
J’écris ton nom
Sur toutes les pages lues
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J’écris ton nom
Sur les images dorées
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J’écris ton nom
Sur la jungle et le désert
Sur les nids sur les genêts
Sur l’écho de mon enfance
J’écris ton nom
Sur les merveilles des nuits
Sur le pain blanc des journées
Sur les saisons fiancées
J’écris ton nom
Sur tous mes chiffons d’azur
Sur l’étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J’écris ton nom
Sur les champs sur l’horizon
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J’écris ton nom
Sur chaque bouffée d’aurore
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J’écris ton nom
Sur la mousse des nuages
Sur les sueurs de l’orage
Sur la pluie épaisse et fade
J’écris ton nom
Sur les formes scintillantes
Sur les cloches des couleurs
Sur la vérité physique
J’écris ton nom
Sur les sentiers éveillés
Sur les routes déployées
Sur les places qui débordent
J’écris ton nom
Sur la lampe qui s’allume
Sur la lampe qui s’éteint
Sur mes maisons réunies
J’écris ton nom
Sur le fruit coupé en deux
Du miroir et de ma chambre
Sur mon lit coquille vide
J’écris ton nom
Sur mon chien gourmand et tendre
Sur ses oreilles dressées
Sur sa patte maladroite
J’écris ton nom
Sur le tremplin de ma porte
Sur les objets familiers
Sur le flot du feu béni
J’écris ton nom
Sur toute chair accordée
Sur le front de mes amis
Sur chaque main qui se tend
J’écris ton nom
Sur la vitre des surprises
Sur les lèvres attentives
Bien au-dessus du silence
J’écris ton nom
Sur mes refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J’écris ton nom
Sur l’absence sans désir
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J’écris ton nom
Sur la santé revenue
Sur le risque disparu
Sur l’espoir sans souvenir
J’écris ton nom
Et par le pouvoir d’un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer
Liberté.
Paul Eluard, Poésie et vérité 1942.
Auteur : Lucienne  
43/99

Date :    01-01-2025 19:25:31


"La vie est telle une pièce de théâtre mais sans répétitions alors chantez, pleurez, dansez, riez et vivez avant que le rideau ne se ferme et que la pièce ne se termine sans applaudissements "
Charlie Chaplin
Auteur : Lucienne  
44/99

Date :    12-01-2025 13:56:35


Le deuil n’est pas qu’une douleur, c’est une déchirure sans fin. Ce n’est pas ce cri qui éclate, c’est un silence lourd qui s’installe. Ce n’est pas la nuit, c’est l’absence d’aube. Il ne s’agit pas seulement de perdre quelqu’un, mais de perdre aussi une partie de soi, un morceau d’âme que rien ne pourra jamais vraiment remplacer.
Il y a un moment où la douleur devient insupportable, où elle dépasse l’entendement. Elle n’est plus localisée, elle est partout : dans la poitrine, dans les tempes, dans la gorge serrée. Même l’air semble peser trop lourd. Alors, quelque chose se brise. Ce n’est pas une fuite, ce n’est pas une capitulation. C’est une sorte de survie. On s’éteint doucement, on glisse hors de soi-même, comme si un mode off s’activait pour échapper à l’incendie intérieur.
On devient spectateur de sa propre peine, un témoin distant. Tout devient flou, les bruits se tassent, les pensées se figent. Ce n’est pas un oubli, mais un effacement temporaire, une parenthèse fragile. C’est un refuge, ou peut-être une prison, difficile à dire. Et pourtant, c’est ce qui permet de tenir, un instant de répit dans un océan de souffrance.
Mais lorsque la déconnexion s’atténue et que le monde revient en vagues douloureuses, il faut alors réapprendre à vivre avec ce vide. C’est une reconstruction lente, maladroite, toujours incomplète. Le deuil, finalement, n’est pas une cicatrice qui referme, mais une plaie qu’on apprivoise.
Charlotte Cellier
Auteur : Lucienne  
45/99

Date :    13-01-2025 18:36:46



La vie est une chance, saisis-la.
La vie est beauté, admire-la.
La vie est béatitude, savoure-la.
La vie est un rêve, fais-en une réalité.
La vie est un défi, fais-lui face.
La vie est un devoir, accomplis-le.
La vie est un jeu, joue-le.
La vie est précieuse, prends-en soin.
La vie est une richesse, conserve-la.
La vie est amour, jouis-en.
La vie est un mystère, perce-le.
La vie est promesse, remplis-la.
La vie est tristesse, surmonte-la.
La vie est un hymne, chante-le.
La vie est un combat, accepte-le.
La vie est une tragédie, prends-la à bras-le-corps.
La vie est une aventure, ose-la.
La vie est bonheur, mérite-le.
La vie est la vie, défends-la.
Mère Teresa
Auteur : Lucienne  
46/99

Date :    16-01-2025 09:16:57


La Logique implacable des incapables...

En 2024, on vous impose toutes sortes de règles, de taxes et d'interdit.
On vous impose des pneus neige, alors qu'il neige de moins en moins...
On vous bourre le crâne pour avoir un corps parfait mais on ne vous met rien dans le citron..
.On augmente l'essence et le Diesel, pour vous imposer le véhicule électrique qui n'a qu'une autonomie destinée aux citadins..
.On augmente le tabac et on vous dit qu'il y a moins de fumeurs, alors que vous traversez toutes les frontières pour vous en procurer à moitié prix ..
.On vous interdit de fumer dans votre voiture et dans les lieux clos, alors qu'on implante partout des salles de shoot pour consommateurs de drogues dures..
.On vous fait croire que les prix des denrées alimentaires ne changent pas, mais on en réduit les quantités et la qualité...On vous fait payer les kilos de fruits et légumes au prix du foie gras...par exemple : 9 euros le kilo de cerises..
.On vous oblige à dormir chez les copains, quand vous avez bu 2 verres lors d'une soirée alors qu'on relâche les délinquants dangereux sous prétexte qu'il n'y a plus de place dans les prisons
...On vous impose un PC et un téléphone portable, alors qu'une ligne fixe suffisait amplement pour communiquer ..
.On vous considère comme '' sénior '' à partir de 45 ans alors que les '' enfants '' sont encore à la charge de leur parents à 30 ans .
.On vous interdit le short de bain pour les hommes, alors qu'on accepte les burkinis dans les piscines ..
On vous taxe de la C.S.G. sur vos retraites même quant elles sont minuscules...
On paie les jeunes à ne rien faire pour les '' motiver '' à travailler..
.On préfère donner une prime pour l'emploi tous les mois aux smicards, plutôt que d'augmenter le s.m.i.c

.NON, ce monde n'est pas le mien !Il y a de quoi se poser la question de savoir si on a encore toutes nos facultés mentales pour accepter toutes ces conneries quand on a connu une liberté presque totale entre les années 1970 et 2000


Et tout le monde dit : Oui Oui!!

Quand mes amis me manquent, je fais comme pour les échalotes...je les fais revenir avec du vin blanc
Et celle-ci du grand Molière :
- Vous aurez beau faire Monsieur, dit la jolie marquise, vous n'aurez jamais mon cœur....
- Je ne visais pas si haut Madame .

Cette autre du rondouillard Bernard BLIER:
Passé 60 ans quand on se réveille sans avoir mal quelque part, c'est qu'on est mort

Et celle-là du génial Michel AUDIARD:
- Je me suis rendu compte que j'avais pris de l'âge le jour où j'ai constaté que je passais plus de temps à bavarder avec le pharmacien qu'avec les patrons de bistro.

Et encore une du facétieux Francis BLANCHE:
- Il vaut mieux viser la perfection et la manquer, que viser la médiocrité et l'atteindre.

Et c'est le patriarche Jean GABIN qui m'invite à conclure:
- La capacité de parler plusieurs langues est un atout, mais celle de fermer sa gueule est inestimable.
Auteur : Lucienne  
47/99

Date :    21-01-2025 18:19:41


"Je voulais seulement te dire... Te dire que ma vie est toujours pleine de toi et que mille fois par jour, je t'envoie mes pensées dans l'espoir qu'elles t'atteignent. Te dire que j'ai tout gardé de nous et que tout reste en moi et me contamine comme une infection dont je refuse de guérir. Te dire que j'ai essayé de te fuir, mais que tout me ramène à toi."

Guillaume Musso
Auteur : Lucienne  
48/99

Date :    25-01-2025 11:41:50


Sur ton chemin, il y aura des instants où tu feras des arrêts. D'autres sur lesquels tu feras des embardées. D'autres où tu marcheras avec des gens qui te sont proches...

D'autres où tu devras marcher seul.
Il y aura des jours où tu seras heureux, D'autres encore où tu te sentiras triste !

Mais il ne faut pas t'inquiéter,
Tu n'as pas pris le mauvais chemin,
C'est la vie tout simplement...

~Lynn Farwin

◄◄1234567891011►►



Retour à l'index du Forum

« Voir les autres
Viens discuter sur le forum
Pros : créez & placez votre annonce ici »