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Partage de textes , de citations inspirantes
Auteur : Lucienne  
65/114

Date :    08-07-2025 15:19:02


Ma mère découpait le poulet, hachait les œufs et tartinait le pain avec le même couteau, sur la même planche, sans jamais utiliser d’eau de Javel
Et pourtant, je n'ai aucun souvenir d’avoir eu une intoxication alimentaire

Le dimanche c'était souvent "poulet frites"
Pas besoin d'aller chez un MC Do pour en manger
Nous aimions nos traditions

Nos sandwiches d’école étaient enveloppés et glissés dans un sac en papier brun, souvent récupéré des sachets de légumes achetés au marché,
Il n' y avait ni glacière ni compartiment réfrigéré
Nos goûters c'était du pain avec du beurre et quelques carrés de chocolat à l'intérieur
Et je ne me souviens pas avoir croisé la route d’une bactérie E.-coli

Nous aurions tous préféré plonger dans le lac, la rivière, ou courir sur la plage, plutôt que barboter dans une piscine chlorée où tout le monde est aglutiné et où il fallait payer pour entrer
D’ailleurs, les plages ne fermaient jamais à l’époque

On faisait du sport à l'école, pieds chaussés de simples baskets, sans semelles à coussins d’air, sans réflecteurs lumineux intégrés, ni gadgets dernier cri et qui ne coûtaient pas un bras à nos parents
Des blessures ? Il y en avait sûrement… Pourtant, je ne m’en souviens pas

À l’école, une faute se soldait par une punition
On appelait cela "la discipline"
Et nous avons grandi en respectant les règles, en honorant nos aînés et nos anciens

Nous étions trente, parfois jusqu'à cinquante par classe
Pourtant, nous avons tous appris à lire, écrire, et compter
Les tables de multiplications se savaient par coeur
Les devoirs étaient faits le soir
Et nous avons même appris à rédiger une lettre sans fautes
Étrange, n’est-ce pas ?

À la fin de l'année scolaire, y avait des kermesses avec des tombolas, et chaque Maman préparait un gâteau que nous étions si fier d'apporter

Il y avait un tableau d'honneur où les noms des plus méritants et des mieux notés étaient inscrits et valorisés, et faisaient leur fierté

Quelle que soit notre religion et nos origines, nous chantions l’hymne national et nous honorions notre drapeau
Et personne ne s’en offusquait

Rester en retenue après les cours suffisait à nous couvrir de honte
Je ne me souviens pas de m’être ennuyé sans ordinateur, sans PlayStation, sans Nintendo, ni Xbox, ni bouquet TV à 270 chaînes
L’ennui ? Il ne semblait pas exister

Et quand une guêpe nous piquait, où étaient les antibiotiques ou les trousses stériles ?
Il n'y avait rien de tout cela
La Maman sortait la bouteille d’iode, ou des recettes de grand-mère comme frotter de l'ail ou mettre du vinaigre sur la piqûre
Aujourd’hui, ce serait direction les urgences, et dix jours d’antibiotiques

On réglait les problèmes nous même sans avocat
C'était bien trop cher
Si il y avait une bagarre, ça en restait aux mains et à la loyale
Il n'y avait pas de couteaux ni de machettes

On jouait dehors jusqu'à une certaine heure, après quoi il fallait rentrer et nos parents y veillaient, et savaient toujours où on était
On pouvait se promener dans les rues même tard la soir sans avoir peur de se faire voler, violenter ou égorger

Aucun d’entre nous ne savait ce qu’était une "famille dysfonctionnelle" Comment l’aurions-nous su ?
Tout se réglait naturellement
On ne parlait ni de thérapie de groupe ni de gestion de la colère
Et le pays entier ne prenait pas de Prozac

Comment avons-nous pu survivre ?

Amour à tous ceux qui ont partagé cette époque
Et à ceux qui ne l’ont pas connue, désolé pour ce que vous avez manqué.

J'ai trouvé ce texte si beau, si juste et si vrai...
Auteur : Lucienne  
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Date :    20-07-2025 14:10:58


💙❤️💙Une femme qui n’a pas d’amis ou qui entretient un cercle relationnel très restreint est une femme profondément, profondément sûre d’elle.
Croyez-moi. Elle a compris que la qualité prime sur la quantité.
Elle n’a pas besoin d’une foule pour confirmer sa valeur.
Sa confiance vient de l’intérieur, non du regard des autres.
Elle n’a pas peur de la solitude, car elle connaît sa propre force.
Elle choisit avec soin à qui et à quoi elle consacre son énergie.
Elle a vu passer des amitiés toxiques, des drames et des commérages, et a choisi de s’en éloigner.
Elle a construit une vie paisible, sans turbulences inutiles et cela l’a rendue plus heureuse.
Elle n’a pas besoin d’être entourée pour se sentir entière ; elle est en paix avec elle-même.
Elle sait que les véritables amis sont rares, et elle préfère en avoir peu, mais des vrais, plutôt qu’une foule d’illusions.
Son petit cercle est composé de personnes en qui elle a une réelle confiance.
Des gens qui ont su lui prouver leur loyauté.
Elle ne gaspille pas son temps dans des relations superficielles ; son temps est précieux et elle le dépense avec sagesse.
C’est une femme qui sait ce qu’elle veut et qui ne se contentera jamais de moins.
Alors, si un jour tu rencontres une femme sans amis, ou avec un très petit cercle, ne la sous-estime pas.
Elle est calme, solide, et pleinement consciente de sa valeur.
C’est une femme qui n’a pas besoin de l’approbation des autres, car elle s’est déjà trouvée elle-même.

Anthony Hopkins
Auteur : Lucienne  
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Date :    21-07-2025 21:44:26


Un amour véritable ne se trouve pas, il se construit.
Il ne naît pas de la perfection,
mais de l’engagement de deux âmes prêtes à se voir vraiment.

Il se construit avec du respect, de la confiance,
avec des conversations inconfortables qui ouvrent des blessures,
et avec des silences qui n’évitent pas, mais qui enveloppent.

Un amour véritable n’est pas une joie constante,
c’est une présence dans les jours difficiles.
C’est la décision de rester quand il serait plus facile de fuir.
C’est regarder l’autre quand les mots manquent,
et malgré tout, se comprendre.

Il se forge à travers des moments partagés,
des erreurs reconnues,
des blessures qui guérissent ensemble.
Il se construit sans hâte, avec patience,
avec tendresse…
et avec le courage de s’aimer sans cesser d’être soi-même.

Car le véritable amour ne donne pas tout facilement,
mais il donne tout, avec vérité. 💗❤️
Auteur : Lucienne  
68/114

Date :    22-07-2025 17:09:07


Mariés ou non, cette histoire mérite d’être lue…

Ce soir-là, en rentrant à la maison, ma femme m’attendait avec le dîner. Je lui ai pris la main et, le cœur lourd, j’ai murmuré : “J’ai quelque chose à te dire.” Elle s’est assise en silence, son regard trahissant une douleur qu’elle essayait de cacher.

Finalement, j’ai lâché la bombe : “Je veux divorcer.” Elle n’a pas réagi tout de suite. D’une voix calme, elle a simplement demandé “Pourquoi ?”. Incapable d’affronter cette question, j’ai détourné le regard. Elle a jeté ses couverts et, le cœur brisé, m’a crié : “Tu n’es pas un homme !” Cette nuit-là, nous n’avons pas échangé un mot. Je l’entendais pleurer, mais je suis resté silencieux.

En vérité, je pensais à une autre femme. Jane.

Rempli de culpabilité, j’ai rédigé une lettre de divorce, lui laissant la maison, la voiture et 30 % de ma société. Sans un mot, elle l’a déchirée en mille morceaux. Dix ans de mariage venaient de s’effondrer sous mes yeux.

Le lendemain matin, elle m’a tendu une lettre. Ce n’était pas une demande d’argent ni un cri de désespoir. Elle avait une seule exigence : que pendant un mois, nous fassions semblant de vivre normalement. Notre fils passait ses examens, elle voulait lui épargner un traumatisme.

Puis, elle a ajouté une condition étrange : chaque matin, je devais la porter de notre chambre jusqu’à la porte, comme le jour de notre mariage.

J’ai trouvé cela absurde, mais j’ai accepté.

Un rituel qui a tout changé

Le premier jour, alors que je la soulevais maladroitement, notre fils s’est écrié : “Papa porte maman !” J’ai senti un pincement au cœur.

Le deuxième jour, elle s’est blottie contre moi. J’ai senti son parfum, et réalisé que cela faisait des années que je ne l’avais pas regardée vraiment. Des rides marquaient son visage, quelques cheveux gris s’étaient glissés dans sa chevelure…

Le quatrième jour, une étrange proximité renaissait. Je redécouvrais cette femme qui avait partagé ma vie pendant dix ans.

Au fil des jours, ce qui avait commencé comme une simple obligation est devenu un moment précieux. Chaque matin, son corps semblait plus léger, et mon cœur plus lourd.

Puis, un matin, elle a essayé plusieurs robes mais aucune ne lui allait. “Elles sont toutes trop grandes,” a-t-elle murmuré. C’est là que j’ai compris : elle avait perdu du poids… beaucoup trop de poids.

La révélation

Notre fils est entré en souriant : “Papa, c’est l’heure de porter maman !” Il était habitué à ce rituel, et cela me bouleversa. Je l’ai prise dans mes bras, plus légère que jamais, et j’ai senti mon cœur se serrer.

À ce moment-là, j’ai compris.

Ce n’était pas l’amour qui avait disparu. C’était l’attention aux petits détails qui s’était effacée avec le temps.

Ce jour-là, après l’avoir déposée à la porte, j’ai pris une décision. Je ne voulais plus divorcer.

Je suis allé voir Jane et lui ai dit : “Je suis désolé. J’ai fait une erreur.”

Elle a ri nerveusement et a posé sa main sur mon front : “Tu es malade ?”

Non. J’étais enfin réveillé.

Sur le chemin du retour, j’ai acheté un énorme bouquet de fleurs. J’ai demandé à la fleuriste d’écrire un mot sur la carte : “Je te porterai chaque matin jusqu’à ce que la mort nous sépare.”

Je suis rentré, le cœur léger, prêt à lui annoncer que je voulais tout recommencer…

Mais elle était allongée sur notre lit. Sans vie.

Elle voulait juste me protéger…

Pendant des mois, elle se battait contre un cancer dont je n’avais même pas remarqué les signes. Trop occupé par ma liaison, trop aveuglé par ma propre indifférence.

Ce mois qu’elle m’avait demandé, ce n’était pas pour notre fils. C’était pour moi.

Elle voulait que je garde une belle image d’elle. Que je sois, aux yeux de notre fils, un mari aimant, et non un homme qui l’a abandonnée.

Les petits détails font les grandes histoires d’amour

Ce ne sont ni la maison, ni la voiture, ni l’argent qui construisent un couple. Ce sont les gestes quotidiens.

Apprenez à voir votre partenaire, à écouter, à apprécier ces petits riens qui créent l’intimité. Ne laissez jamais la routine éteindre l’amour.

💛 Parce qu’aimer, c’est choisir chaque jour de rester.

Auteur inconnu.
Auteur : Lucienne  
69/114

Date :    24-07-2025 08:48:07


Il y a une femme dans la maison…
Elle ne sourit plus comme avant.
Elle n’en veut à personne, mais parfois, même elle ne se reconnaît plus.
Autrefois, elle courait partout.
Aujourd’hui, elle lutte juste pour se lever.
Autrefois, elle riait aux éclats.
Maintenant, elle retient ses larmes en silence.
Elle oublie des choses simples. Même des choses importantes.
Pas à cause de ce qui se passe dehors…
Mais à cause de ce qui se passe en elle.
Des hormones en pagaille. Des nuits sans sommeil.
Des bouffées de chaleur, de l’anxiété sans raison…
Et une solitude qui serre la poitrine.
Personne ne lui a appris à gérer ça.
Personne ne lui demande vraiment : “Comment tu te sens ?”
Tout le monde s’attend à ce qu’elle reste debout…
Comme si elle ne combattait pas une tempête invisible.
Mais elle reste une maman.
Alors elle garde tout à l’intérieur.
Parce qu’elle pense ne pas avoir le droit de flancher.
Parce qu’elle a toujours été celle qui portait les autres.
Et parfois… elle aurait juste besoin qu’on la prenne dans les bras,
Et qu’on lui dise doucement :
« Tu n’as pas besoin d’être forte aujourd’hui. »
Son corps change, son esprit se fatigue,
Mais son cœur, lui… aime toujours autant.
Il aimerait juste, parfois, qu’on l’aime en retour.
Pas pour ce qu’elle fait.
Mais pour ce qu’elle est :
Une femme courageuse, même quand personne ne le voit.
Auteur : Lucienne  
70/114

Date :    27-07-2025 08:06:31


On dit que le deuil, c’est apprendre à vivre avec l’absence…
Mais personne ne m’a dit que l’absence pouvait faire si mal.
Ce n’est pas seulement ne plus te voir,
C’est ne plus pouvoir te raconter,
Ne plus entendre ta voix quand j’en ai le plus besoin.

Il y a des jours où je me persuade que j’avance,
Que la blessure s’est refermée.
Mais il suffit d’une pensée, d’une chanson, d’une odeur… et je retombe.
Le cœur se brise encore et encore, au même endroit.

Parce que personne ne m’a appris à dire adieu, vraiment.
Et même si le monde ne le voit pas,
Même si mon sourire dit le contraire,
À l’intérieur, je continue de te pleurer.

Je continue de chercher des morceaux de toi dans tout ce qui m’entoure.
Parce que lâcher prise ne veut pas toujours dire oublier.
Et moi, je ne veux pas t’oublier.
Je préfère vivre brisé,
Plutôt qu’effacer la trace que tu as laissée en moi.
Auteur : Lucienne  
71/114

Date :    03-08-2025 11:00:43


Lors d’une corrida pleine de tension, le torero Álvaro Múnera fit l’impensable. 😮 Alors que le public retenait son souffle en attendant le coup final, il s’arrêta, s’éloigna du taureau… et alla s’asseoir au bord de l’arène. 🤔 Un lourd silence tomba parmi les spectateurs.
Plus tard, il raconta le moment qui changea sa vie :
« Je ne voyais plus le danger des cornes. Je ne regardais que ses yeux. Ils n’étaient pas pleins de rage, mais d’innocence. Il n’attaquait pas, il suppliait pour sa vie. Ce n’était pas un combat… c’était de la cruauté. » 😢
Múnera laissa tomber l’épée ⚔️, abandonna à jamais la tauromachie et commença un nouveau combat : celui contre toute forme de maltraitance animale. 🐂➡️❤️
De torero à activiste, son histoire est un puissant témoignage de combien la compassion peut être transformative. ✨ Parfois, il suffit d’un regard, d’un seul instant… pour tout changer. 🌟
Auteur : Lucienne  
72/114

Date :    05-08-2025 08:50:45


✨Oui, dis à ton médecin que tu as mal à la poitrine… mais raconte-lui aussi que cette douleur vient de la tristesse, de l’angoisse qui serre ton âme.
✨Dis que tu as des brûlures d’estomac… mais demande-toi aussi pourquoi, si, avec ton esprit agité, la production d’acide dans ton estomac se multiplie.
✨Informe que tu as du diabète, oui… mais n’oublie pas de dire que la douceur semble s’être évaporée de ta vie, et que le goût amer des frustrations pèse trop lourd.
✨Mentionne que tu souffres de migraines… mais reconnais aussi que ce qui fait mal, c’est le perfectionnisme, l’autocritique constante, l’extrême sensibilité à l’opinion des autres et l’anxiété qui ne se repose jamais.
✨Beaucoup souhaitent guérir, mais peu sont prêts à neutraliser l’acide de la calomnie, le poison de l’envie, les microbes du pessimisme et le cancer de l’égoïsme. Ils ne veulent pas transformer leur façon de vivre.
✨Ils cherchent à guérir d’une tumeur… mais résistent à lâcher un vieux chagrin. Ils veulent libérer leurs artères coronaires… mais gardent la poitrine verrouillée par la rancune et l’agressivité.
✨Ils désirent soigner leurs yeux… mais ne retirent pas le bandeau du jugement et de la médisance. Ils demandent un soulagement à leur dépression… mais ne lâchent pas l’orgueil blessé ni la douleur des pertes qu’ils n’ont pas su intégrer.
✨Ils supplient qu’on les aide pour leurs problèmes de thyroïde… mais ignorent leurs propres rancunes et frustrations, et ne s’autorisent pas à exprimer clairement ce dont ils ont réellement besoin. Ils prient pour guérir un nodule au sein… mais refusent encore de libérer la tendresse et de laisser couler l’affectivité.
✨Ils demandent une intervention divine… mais restent sourds aux cris d’aide des personnes les plus proches.
✨La vie nous parle de mille façons. Et oui, la maladie en est une. Parfois la plus claire. Car le message qu’elle apporte est urgent et profond : il nous manque plus d’amour et plus d’harmonie dans notre existence.
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